Revoe de la semaine. vv 20 Föme anne. 1867. Stockholm, 11 juin. Do politique il ne faut point parler en ce moment, oå lon ne penserait qwå la villgiature si seulement !t6 pouvait, une bonne fois pour toutes, e dåcider å vevir. Cependant si grande est la force de Phabitude, quon ne sen rend pas moins sous Iombrege des branches encore depouilltes. Le roi, que vous ettendiez le 10 å Paris (mettez 10 juiilet), est å Ulriksdal avec la reine; 4 Drottningholm est la reine-måre, le due et la duchesso dOstrogothie vont å Rosersberg, le duc et la duchesse de Dalecarlie å Tullgarn. Quon ne nous parle donc pas daffaires s6rieuses! Nous ne voulons rien entendre, que les rcits merveilleux des voyageurs qui reviennent de Corinthe. Existet-il une autre ville en ce monde å iheure presente? Est-il edmissible que les jours sombres puissent revenir et que ces noces de Gamache universelles doivent jamais prendre fin? La Russie parle damnistie; 19 Prusse elle-mtme commence å se montrer quelque peu benigne pour ces bons et hon nötes habitants du Slesvig. Nous voulions vous dire ses rigucurs, les arrestations pou refus de serment, Iexode de villages entier: uyant Vodicuse conscription, les pråtre: chassås de leurs presbytöres et les ouailles sans pasteurs. Mais quoi! M. de Bismarcl se radoucit. Est-ce le commencement del: fin ou seulement un temps darret? Nou: verrons bien. Et cependant si nous nous occupons dc quelque chose, cela a encore trait å la föte uni verselle des peuples. Ce sontnos tudiant: dUpsal Ad qui nous facilitons les moyens d transport pour eller vousdaire entendre leur; choeurs dun effet si original; ce sont de delegugs (M: Wallenberg banquier et Brock que nous nommons pour repråsenter la Sudgde: Ja confrence monåtaire; entin la seule mesur officielle que nous ayonså signaler aujourdhu est encore dans cette tendance de rappro