e ne comprends pas ce que veulent dire 7 les Arlistes francais par ces mots: jexploite leur position. Cest bien la dernigre chose que je voudrais exploiter. On peut dire au contraire de quelques uns dentr c eux, que je nommerais au besoin, quils ont exploite la Charit publique, en se declarant reduits å la mendicit, dont entre nous soit dit, ils sont bien loin. — Je ne sais pas non pus quel est le titre que jai usurp. Est ce mon nom? — il mappartient pourtant bien legitimement. Cest plus quon ne peut dire de quelques signataires de la fameuse lettre du 2 Mars. Ces Messieurs disent quil nexiste plus de Theåtre francais å Stockholm pourtant ils signent: Artistes du Theåtre Francais; ce Nnest pas tre consequent, car un Theåtre qui nexiste pas, ne peut pas avvir dArtistes. Je nai jamais eu lin:ention de nuire å leur consideration, ils se sont eux måmes, il me semble, chargås de ce soin. Ce sont plutdt eux, qui ont voulu nuire, non pas å ma consideration, qui est hors de leur port, mais å mes interets. Ainsi les Artistes frangais sont bien loin cette fois måme, de navoir dif, Rien que la verite. — En comptant leur Signatures on ne remarque que le malheareux Nombre de Treize, måme en doublant Lavernos: Que sont devenues I s Sept manquants, car on se souvient que dans leur apelle å la Charit, ils ont accus Vingt Personnes. Est ce cette fois par compensation ils auraient par hasard dit Sept fois plus que la Veritt. Stockholm le 5 Mars 1849. EOCK, Secretaire du Thteåtre Frangais